1985 : Groupe de travail « réseau génétique forestier »

 En s’appuyant sur des considérations scientifiques, ce groupe de travail a établi les principes de la conservation in situ des ressources génétiques pour une espèce donnée :

  • constitution d’un réseau “d’îlots” de conservation à travers le territoire (on parle aujourd’hui d’unités de conservation)
  • choix de ces “îlots” selon l’état des connaissances de leur diversité 
  • dimension de chaque îlot et organisation en “noyau dur”, véritablement consacré au rôle de conservation, et “zone d’isolement” périphérique, tampon contre les flux de pollen et de graines
  • gestion sylvicole de ces “îlots”: régénération du noyau dur avant la zone d’isolement, conservation d’un nombre minimum de semenciers et protection de la régénération dans le noyau dur, etc.

Ces réflexions sont rassemblées dans un article fondateur de G. Steinmetz